The Boys Club : un collectif de cinéastes féminines internationales

Rencontrez les femmes qui font bouger la culture !

À l’occasion de notre soirée de levée de fonds du collectif The Boys Club — un collectif 100 % féminin, venez célébrer la créativité, l’audace et la sororité.

Au programme : exposition d’artistes émergentes, live music & DJ set, et une conférence inspirante sur la place des femmes dans la culture aujourd’hui.

🗓️ Samedi 1er novembre
📍HOBA (75017)
💃 Dress code : rouge — et n’oubliez pas vos cartes de visite !

Une soirée pour échanger, découvrir et danser, portée par des femmes passionnées et ouvertes sur le monde.

👉 L’intégralité des bénéfices sera reversée au collectif et à HOBA pour soutenir ses futurs projets culturels.

Qui sommes-nous ?
Nous sommes The Boys Club, un collectif international de femmes cinéastes basé à Paris, en France.

Que faisons-nous ?
Nous créons un espace unique où les femmes du monde du cinéma peuvent se rencontrer et se connecter. Nous avons pour objectif de soutenir les projets indépendants en aidant à constituer des équipes dans lesquelles les femmes sont mises en avant.

Origines :
The Boys Club a été fondé par Miya Ruane, une réalisatrice américaine installée à Paris. Alors qu’elle travaillait sur son premier court-métrage (SCUM), elle a constaté à quel point la présence de femmes derrière la caméra semblait rare. Ce constat n’était pas dû à un manque de talents féminins – elles sont nombreuses – mais plutôt à l'absence d’un espace pour les représenter et les mettre en lumière.
Un jour, en apercevant un t-shirt dans le rayon garçons du magasin de vêtements, sur lequel était écrit “The Boys Club”, elle et sa partenaire créative Lucia Rindermann ont commencé à imaginer une équipe de femmes cinéastes capables de s’unir pour faire entendre leurs voix, valoriser leurs compétences individuelles, et percer dans une industrie qui ressemblait de plus en plus à un club de garçons.
Elle a alors décidé de réunir une équipe exclusivement féminine pour travailler sur SCUM, et c’est ainsi que The Boys Club est né.

Mission :
Connecter les femmes du cinéma afin de transformer le paysage de l’industrie et de créer des opportunités pour que les talents féminins brillent derrière la caméra.

Miya Ruane, une réalisatrice américaine installée à Paris.

(Scénariste / Réalisatrice / Fondatrice de TBC) Miya Ruane est née en Californie, où elle a passé une grande partie de son enfance. Elle a toujours su, dès son plus jeune âge, qu’elle se dirigerait vers la réalisation et l’écriture de films.

À 18 ans, elle s’installe à Paris pour étudier à l’Istituto Marangoni, où elle suit une formation en direction artistique et en stylisme de mode. Ce parcours académique lui confère une perspective unique et une approche non conventionnelle du cinéma, fondée sur une forte identité visuelle.

Grâce à ses expériences passées dans le domaine du film de mode, elle développe un sens aigu de l’esthétique, qui se reflète dans l’ensemble de son travail, avec un accent marqué sur la communication visuelle.

Actuellement, elle s’intéresse particulièrement à l’hyperféminité dans le contexte des thrillers et aux expressions traditionnellement masculines de la violence.

Perrine Heurdier, une jeune régisseuse et productrice audonienne.

(Régisseuse / Directrice de post-production de The Boys Club)
Perrine s’est naturellement tournée vers le monde du cinéma, attirée par la culture, mais surtout par sa dimension sociale et politique. Elle fait ses premiers pas dans l’industrie en tant qu’assistante régie sur de petits courts-métrages étudiants, découvrant très vite que la production pouvait devenir un véritable outil d’engagement.
Animée par la volonté de faire émerger des projets porteurs de sens, elle voit dans le métier de productrice une manière concrète de mettre en lumière des voix et des récits engagés.

Investie dans les questions d’égalité des chances et d’accès à l’enseignement supérieur, elle représentera le collectif The Boys Club — collectif 100 % féminin de production cinématographique — lors de la soirée du 1er novembre.

Elle-même a bénéficié du soutien du collectif, qui lui a permis de gravir les échelons de la production. Aujourd’hui, elle souhaite à son tour transmettre, en créant des opportunités pour d'autres femmes désireuses de faire leur place dans l’industrie.